NBA – Avant la Draft, une pépite cash à propos de Tony Parker : « J’essaye d’être le…

Tony Parker, président de l'ASVEL et légende des Spurs en NBA
SKWEEK (DR)

Par Guillaume K. | Journaliste sportif

Dans la NBA actuelle, Tony Parker serait un monstre. Avec sa vitesse et sa qualité de finition, il profiterait des largesses défensives devenues communes dans la ligue. C’est la raison pour laquelle il inspire encore de nombreux jeunes meneurs.

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Tony Parker est un cas assez rare dans l’histoire récente de la NBA… En effet, en temps normal, quand un joueur prend sa retraite et quitte ce microcosme, de nombreux fans se tournent contre lui et expliquent qu’il n’était finalement pas si fort que ça, que la nouvelle génération le détruirait sur le terrain. Mais avec le Français, c’est tout l’inverse qui se produit, et c’est totalement mérité.

Aujourd’hui, le légendaire n°9 des Spurs n’est plus seulement vu comme le coéquipier de Tim Duncan, il est décrit comme un artisan majeur de la domination de son équipe et comme l’un des meilleurs de l’histoire sur son poste. C’est d’ailleurs ce qui explique les nombreuses réactions négatives quand il a été évincé de la prestigieuse liste des 75 ans de la ligue.

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Rob Dillingham rend hommage à Tony Parker

Qu’il se rassure, son héritage se fait toujours ressentir de nos jours, puisque son style de jeu continue d’influencer les nouvelles générations. Meneur de jeu ultra-rapide avec la balle dans les mains, maitre incontesté du floater, TP était ce que de nombreuses pépites rêvent d’être. C’est notamment le cas de Rob Dillingham, qui a annoncé l’avoir pris comme modèle :



J’essaye vraiment de modeler mon jeu sur mes joueurs préférés. Quand j’étais jeune mon meneur préféré était Steve Nash, donc je l’ai beaucoup étudié. Mais de nos jours, c’est plutôt Kyrie Irving, Darius Garland… Il y a aussi Tony Parker. Je m’inspire de beaucoup de joueurs c’est vrai, j’essaye d’être le meilleur joueur que je peux être grâce à eux.

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Le nom de Tony Parker compte encore énormément aux États-Unis, voici une preuve supplémentaire. Rob Dillingham, rapide meneur de Kentucky annoncé dans le Top 5 de la Draft, s’est d’ailleurs inspiré de lui, entre autres. Il faut dire qu’ils ont une vitesse similaire et des facilités dans la finition près du cercle. En revanche, il est bien plus athlétique que ses idoles. Steve Nash et TP n’ont jamais posé de tels dunks.

Tony Parker avait des qualités qui sont aujourd’hui très recherchées par les franchises. Alors les jeunes meneurs avouent ouvertement s’inspirer de lui, notamment dans la gestion de la vitesse et du scoring près du panier.

Déclarations Draft NBA 24/24 Tony Parker

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