La phrase gênante de Malika Ménard à Zinédine Zidane lors de leur seule rencontre : « Je lui ai répété ça… »

Malika Ménard et Zinédine Zidane
France TV (DR) / Adidas (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Rencontrer son idole, ce moment que l’on idéalise depuis l’enfance, peut parfois donner lieu à des situations inattendues, voire embarrassantes. C’est ce qu’a vécu Malika Ménard, ancienne Miss France, lorsqu’elle a croisé la route de Zinédine Zidane. Au moins, c’est assumé avec une certaine autodérision !

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Rencontrer Zinédine Zidane ? Ceux qui ont eu cette chance s’en souviennent tous, et Malika Ménard ne fait pas exception. Dans une interview accordée à Gala, l’ex-reine de beauté avait levé le voile sur ce moment inoubliable — et légèrement gênant. Elle qui se souvient encore de la finale du Mondial 1998 vécu en famille ne le cache pas : elle a quelque peu perdu ses moyens face au divin chauve !

Malika Ménard impressionnée devant Zinédine Zidane

Lorsque cette rencontre tant rêvée a finalement eu lieu, les mots ont en effet eu du mal à sortir. Submergée par l’émotion, l’ancienne Miss France s’est retrouvée dans une situation touchante et cocasse :

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« J’ai eu la chance de rencontrer Zidane qui restera à vie mon joueur préféré. J’étais impressionnée et n’ai pas su articuler grand-chose à part répéter : « Je m’appelle comme votre mère » Mode groupie activé ! »

Une phrase à la fois innocente et spontanée, mais qui a de quoi surprendre, même pour quelqu’un d’aussi posé que Zidane. Malika Ménard en rit aujourd’hui, consciente du décalage entre la grandeur du moment et son étonnante petite phrase.

Quoiqu’il en soit, Zizou n’était pas le seul à faire vibrer le cœur de la jeune femme dans les années 2000. Dans cette même interview, elle évoquait également un autre grand nom du football français : Thierry Henry. Avec une touche de regret, elle racontait ne jamais avoir eu la chance de le rencontrer, même si son admiration pour lui était profonde :

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« A l’époque, j’avais un poster du numéro 10 et du numéro 12 dans ma chambre, Thierry Henry, mais je n’ai pas eu la chance de le rencontrer. J’aimais son flegme. Un côté Roger Federer qui n’exprime rien, mais qui travaille dur. »

Ces confidences offrent un regard attendrissant sur la jeunesse de Malika Ménard, bercée par les exploits des Bleus, et révèlent l’importance du sport dans son imaginaire adolescent. Zidane et Henry ne sont pas seulement des stars à ses yeux, ils représentent des figures d’excellence et d’élégance qui ont façonné ses rêves.

Depuis, Malika Ménard a fait du chemin, passant des plateaux télé à l’écriture, sans jamais renier ses passions. Ce genre de souvenirs, aussi légers soient-ils, rappellent combien les figures publiques restent d’abord des individus, avec leurs émotions, leurs maladresses, et leurs souvenirs de fans émerveillés.

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