Carla Bruni (57 ans) passe aux aveux sur l’addiction qui l’a enfoncée : « Par jour, jusqu’à…

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Tant reconnue pour sa carrière que son statut d’ex première dame, Carla Bruni n’a jamais caché son franc-parler. À 57 ans, elle est ainsi revenue sur certaines périodes de sa vie où elle a été confrontée à ses excès et addictions, sans tabou ni artifice. Son honnêteté, souvent soulignée par les médias, lui permet d’aborder ces confessions avec lucidité… et un zeste d’humour.

Souvent présentée comme une personnalité lisse, Carla Bruni dispose en fait de nombreuses nuances, dont certaines sont plus difficilement avouables. Lors d’un passage sur le podcast Contre-addictions, l’ancienne première dame avait par exemple consenti à des révélations étonnantes sur sa consommation de sucre, qui l’avait complètement emportée à un moment donné :

« J’ai commencé par le sucre, très assidûment, grande adepte du sucre, des vrais shots de sucre. J’ai pu boire jusqu’à 40 Coca-Cola par jour »

Ce témoignage, assez bluffant, illustre l’importance qu’elle accorde aujourd’hui à son équilibre personnel. Carla Bruni a aussi évoqué ses autres addictions et leurs conséquences, notamment le tabac, qu’elle regrette profondément :

« Je n’ai pas beaucoup de regrets dans ma vie, mais j’en ai un : d’avoir fumé. C’est terriblement dangereux et incroyablement inutile »

Mais l’ancienne mannequin et chanteuse ne s’arrête pas là. Elle partage également sa vision de l’alcool et de la manière dont elle doit gérer ses envies pour ne pas tomber dans l’excès :

« J’aime une douce ivresse. Le problème, c’est que comme je suis une addict, je ne m’arrête pas à la douce ivresse, donc je suis obligée d’arrêter l’alcool. Si je bois, il me vient la mauvaise idée de dire tout ce que je pense aux gens ! »

Ces confidences montrent que Carla Bruni a su prendre conscience de ses travers et qu’elle a aujourd’hui trouvé une approche plus responsable, tout en gardant son humour et sa spontanéité caractéristiques. Une façon pour elle de rappeler que l’addiction peut toucher tout le monde, même les plus célèbres…