Sex-symbol, Adriana Karembeu avoue son habitude cra-cra en privé : « Le soir, il m’arrive de…

Adriana Karembeu
Pure People (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Connue dans le monde entier pour sa beauté et son élégance, Adriana Karembeu a bâti une carrière impressionnante sur son image de mannequin et de sex-symbol. Mais derrière les couvertures de magazines et les projecteurs, la mannequin slovaque n’est pas à l’abri de certaines petites failles du quotidien... comme nous tous !

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Être une icône du mannequinat comme Adriana Karembeu a un coût : celui de toujours vivre à travers son apparence physique, et cela même quand les années commencent à défiler. Dans son livre Libre, celle qui est désormais âgée de 54 ans confiait ainsi avec justesse et un brin de fatalisme qu’elle ne vivait pas forcément bien cette bascule :

« Lorsque l’on a bâti sa carrière sur sa beauté, et qu’elle est reconnue par la société, il est difficile de la voir se ternir et de toujours être à la hauteur des magazines sur lesquels on pose »

Malgré une routine beauté scrupuleusement observée en public, Adriana révèle dans un entretien pour Femme actuelle qu’elle ne suit pas toujours les conseils les plus stricts en privé, et notamment une qui n’est pourtant pas recommandée du tout :

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« Je n’applique pas grand chose sur ma peau. J’utilise la crème de ma fille et quand je suis fatiguée, il arrive que je ne me démaquille même pas le soir… »

Une confession qui pourrait surprendre ses fans, mais qui a des conséquences bien réelles. Ne pas se démaquiller le soir est perçu comme sale à juste titre, car cela favorise l’accumulation de maquillage et d’impuretés, ce qui peut provoquer boutons, irritations, pores bouchés et parfois même infections oculaires. À long terme, cette habitude peut aussi accélérer le vieillissement cutané.

Comme quoi, même un top-model adulé pour son corps parfait et son sex-appeal n’échappe donc pas aux petites habitudes moins reluisantes du quotidien ! Et si Adriana Karembeu assume cette liberté en privé, elle rappelle que la perfection n’existe pas, même chez les icônes du mannequinat mondial.

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