Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web
À l’époque où Usain Bolt dominait la planète athlétisme, le Jamaïcain attirait les regards jusque dans sa vie nocturne, parfois tumultueuse. Réputé grand séducteur, il multipliait les rencontres, et certaines d’entre elles ont fait couler beaucoup d’encre. Ce fut notamment le cas de celle avec Brésilienne Jody Duarte, qui avait tout révélé. Vraiment tout !
Figure emblématique du sprint mondial, Usain Bolt n’a jamais caché son appétence pour les belles femmes – y compris pendant les grandes compétitions. En 2016, alors qu’il était au sommet de sa gloire l’athlète jamaïcain avait croisé la route de Jody Duarte dans une boîte de nuit de Rio. Via son garde du corps, il avait convaincu la jeune femme de le suivre jusqu’au village olympique pour une nuit caliente.
Ce que Bolt n’avait pas prévu, en revanche, c’est que Jody Duarte prenne des photos de son passage dans les bras de la star, et plus encore, qu’elle se livre sans pudeur dans les colonnes du « Daily Mail ». En effet, la Brésilienne n’y était pas allée par quatre chemins pour raconter son expérience avec le Jamaïcain, qui, elle s’en souvient, avait choisi la chanson « Work » de Rihanna pour démarrer les hostilités :
« Je n’avais pas besoin de Google Translate pour comprendre qu’il avait envie de moi. Il a le corps d’un champion, mais son sexe est normal. Je croyais que notre séance allait être courte, mais c’est la relation sexuelle la plus lente que je n’ai jamais eue. On a fait l’amour durant 40 minutes. Il a pris une courte pause et nous avons recommencé. »
Satisfaite mais pas n’ayant pas spécialement le sentiment d’avoir passé un moment inoubliable non plus, la jeune femme avait ajouté pour conclure :
« C’était une soirée agréable, le sexe était bon, mais je me sentais juste comme une fille parmi tant d’autres. »
Usain Bolt ne devait pas imaginer que cette aventure d’un soir finisse placardée sur les réseaux et sur le net. Au moins, une chose semble certaine : si le Jamaïcain était l’homme le plus rapide du monde en sprint, il ne l’est pas sous la couette…
