À 60 ans, Pascal Obispo révèle la vraie origine de son trou dans le sourcil : « On m’a…

Pascal Obispo évoque sa cicatrice au sourcil
Clique (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Visible depuis ses débuts, cette marque au niveau du sourcil fait presque partie intégrante de son image publique. Pascal Obispo ne l’a jamais vraiment cachée, mais en a longtemps dit peu sur son origine réelle. Derrière ce détail physique se cache pourtant une histoire bien plus mouvementée qu’il n’y paraît. Une confidence livrée sans détour, et non sans surprises.

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Figure majeure de la chanson française depuis les années 1990, Pascal Obispo a traversé les décennies en enchaînant les tubes et les collaborations prestigieuses. Auteur-compositeur respecté, l’artiste s’est aussi forgé une apparence reconnaissable entre toutes, marquée notamment par cette cicatrice au sourcil.

Un détail qui intrigue depuis longtemps le public, et qui trouve ses racines bien avant la célébrité, dans un épisode de jeunesse resté longtemps discret. C’est lors d’un entretien accordé à Michel Cymès que le chanteur avait accepté de lever le voile sur l’origine de cette marque, reconnaissant au passage en jouer volontairement avec le temps :

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« Je suis tombé d’un camion quand j’étais petit, la tête la première… et donc ça m’a laissé une cicatrice que j’exagère. »

Un accident d’enfance finalement sans trop de conséquences, mais qui aurait pu être éclipsé par un autre épisode bien plus grave. En 1997, alors qu’il se produisait en concert en Corse, du côté d’Ajaccio, Pascal Obispo a frôlé un drame autrement plus sérieux. L’artiste était alors pris malgré lui dans une histoire de jalousie qui a dégénéré, comme il l’a raconté avec le même calme désarmant :

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« On m’a tiré dessus. C’était une histoire dans un couple, une histoire de jalousie. A priori, la femme a dit : ‘Obispo, je me le fais quand je veux’ et l’homme a dit : ‘Moi aussi, je me le fais quand je veux’. Et puis, en fait, il nous a tiré dessus à la carabine à plomb. Si c’était tombé 2 cm plus bas que le sourcil, j’avais l’œil crevé. Il a tiré aussi dans le pied et sur mes musiciens »

Avec le recul, Pascal Obispo mesure surtout la chance d’en être sorti indemne, là où quelques centimètres auraient pu changer le cours de sa vie. Derrière une cicatrice devenue presque emblématique se cache ainsi une succession d’événements improbables, rappelant que même les détails les plus anodins peuvent porter en eux des histoires autrement plus lourdes.

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