Didier Barbelivien cash sur le test qu’il a fait passer à sa femme de 28 ans de moins : « Je lui ai…

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Légende de la chanson française, Didier Barbelivien, n’évoque que rarement sa vie privée. Pourtant, lorsqu’il parle de sa rencontre avec Laure Bernardini, il se montre à la fois drôle et touchant, faisant fi de l’écart de 28 ans les séparent. Loin d’être un obstacle, cette différence a été, selon lui, un facteur de complicité dès le départ... notamment via le test qu’il lui a fait passer.

Didier Barbelivien a rencontré Laure Bernardini en 2004, alors qu’il avait 50 ans et qu’elle en avait 22. Dès leurs premiers échanges, il voulait s’assurer qu’ils partageraient davantage qu’une attirance physique. Pour le compositeur de génie, cette question de complicité intellectuelle et artistique était essentielle afin de construire une relation durable.

Fort heureusement, leur histoire allait rapidement montrer que ce test n’était pas anodin et qu’il reflétait une réelle compréhension mutuelle. Dans les colonnes de Nice Matin, Didier Barbelivien est revenu sur ce moment, et sur le test qu’il assume avoir fait passer à la jeune femme :

« Étant donné qu’elle avait 22 ans et moi 50, je m’étais demandé, lorsque nous nous étions rencontrés, en dehors de la séduction, de quoi parlera-t-on le soir, lorsqu’on sera tout seuls à table ? Je lui ai fait passer un test. Je lui ai demandé : ‘Si je te dis ‘La veuve de Joe Stan Murray’, qu’est-ce que tu me réponds ?’

Sans hésiter, elle a rétorqué : c’est une chanson de Julien Clerc qui est sortie sur la face B d’un 45 tours intitulé 4 heures du matin. J’étais scotché. Je me suis dit : si elle connaît tout ça, on va faire un bout de chemin ensemble… et ça fait vingt ans que ça dure ».

Aujourd’hui, à 71 ans, Didier Barbelivien se dit plus heureux que jamais aux côtés de Laure Bernardini. Il revendique une jeunesse d’esprit intacte et souligne que l’écart d’âge n’a jamais été un obstacle, mais au contraire un facteur de complémentarité. Pour lui, leur relation est un véritable attelage où chacun complète l’autre, et cette complicité se reflète dans leur quotidien et leur vie de famille :

« Je suis un éternel adolescent, ça c’est mon ADN. Quand j’essaie de m’auto-analyser, ça va très vite : je suis resté le même imbécile que j’étais quand j’avais 17 ans. Quand je suis tombé amoureux de Laure, je me suis dit : ‘Calme-toi’. Maintenant, c’est le contraire. C’est génial d’avoir cet écart d’âge. C’est comme un attelage, d’être plus que complémentaires ».

Vingt ans après leur rencontre, Didier Barbelivien et Laure Bernardini restent un exemple rare de complicité et de longévité dans le monde des couples médiatiques. Ce test musical, drôle et singulier, a scellé le début d’une histoire fondée sur l’admiration mutuelle, l’humour et une véritable compréhension de l’autre, faisant de leur couple une histoire solide et intemporelle.