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Dans un entretien accordé au quotidien l’Indépendant ce lundi, Hervé Régior, le président de la SASP Perpignan Basket, fait le bilan. Il pourrait passer la main en fin de saison. Mais avant Perpignan se rendra « au Final Four pour le titre ». Il tire la conclusion que ce n’est « Pas facile d’être président d’un club pointé du doigt ».
– Avez-vous été bluffé par le parcours aussi exceptionnel qu’inattendu avec 20 victoires en 26 matches et une 2e place à la clé ?
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HR : Je ne m’attendais pas à cela vu le calendrier de folie que nous a imposé la Fédération.
– Comment expliquez-vous cette très belle saison d’une équipe longtemps moribonde ?
HR : Je ne vois qu’une seule explication : on a tellement voulu du mal à cette équipe que ça a ressoudé les filles. Au fil des matches, Perpignan est devenu une équipe de commando devenue aujourd’hui capable de renverser tout le monde. Cette équipe là n’a peur de personne en Ligue 2.
– En battant le leader Calais à l’aller comme au retour (ses deux seules défaites de la saison), Perpignan a-t-il envoyé un signe fort avant le Final Four qui aura lieu les 17 et 18 mai à Calais ? J
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HR : Je ne sais pas si on a marqué les esprits mais Calais a pris un grand coup derrière la tête samedi à Pons. On a battu le leader avec seulement cinq filles en considérant que Laurie Datchy a trottiné quelques minutes pour reposer des joueuses.
– Et que Fabienne Constant n’a pas joué. Pour quelle raison d’ailleurs ?
HR : Elle n’était pas qualifiée. Son contrat se terminait le 30 avril. Il n’a pas été prolongé à temps. C’est de ma faute et j’assume mon erreur. Fabienne sera bel et bien avec nous au Final Four.
– Cette compétition à 4 avec Calais, Perpignan, Roche Vendée et Pau/Orthez, vous la voyez comment ? Êtes-vous conscient qu’il y a un risque que Perpignan se retrouve en finale contre Calais et du coup il peut décrocher le deuxième billet pour la Ligue Féminine ?
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HR : Sportivement, on jouera le coup à fond. On veut finir le rêve fou du début de saison. Et je dirais même aujourd’hui que ce serait une désillusion et même une déception de ne pas être champion de France car on ira à Calais pour gagner le titre.
– Retrouver l’Elite dès la saison prochaine ne vous fait pas peur ?
HR : Je le répète, on va à Calais pour être champion. Moi, j’essaierai que l’équipe accède en Ligue en sachant qu’il faudra doubler le budget, soit environ 1,2 million d’euros. Les institutions devront faire un effort, nos partenaires aussi. Mais on va d’abord finir la saison en cours. Après le Final Four, on aura un mois pour présenter notre budget à la Ligue.
– Vous serez toujours président de la SASP la saison prochaine ?
HR : C’est aux actionnaires de décider… Lors de l’assemblée générale, je présenterai mon bilan.
– Mais vous avez envie de rester ou de passer le témoin ?
HR : Je vais me donner le temps de la réflexion. La saison qui est sur le point de se terminer a été très dure, mentalement et physiquement. Ce n’est pas facile d’être le président d’un club montré du doigt. Si je pars, j’aurais rempli mon contrat. Je serais allé au bout de mes convictions. Je peux me regarder dans une glace et me raser sans me couper.
Hervé Régior s’interroge sur son avenir et celui de l’équipe. Mais il a été ravi de voir 600 personnes samedi soir à Pons pour le dernier match à domicile : « Les gens qui viennent à Pons s’identifient à cette équipe qui se bat et ne lâche rien ». Crédit photo : lindependant.fr