NBA – Les mots forts de Kevin Garnett à Anthony Davis

Alors que le futur d’Anthony Davis est toujours en suspens et que les rumeurs vont toujours bon train, The Brow a pu récolter l’avis d’un homme qui compte : The Big Ticket en personne, Kevin Garnett. Et fidèle à lui-même, l’ancien des Celtics n’a pas mâché ses mots.

Partira ? Partira pas ? Anthony Davis a beau avoir toujours clamé sa fidélité à New Orleans, le moins que l’on puisse dire, c’est que tout le monde semble vouloir l’envoyer du côté de Los Angeles. Alors que l’on a appris que certains de ses coéquipiers lui conseillaient de partir, et que le joueur s’est permis de rigoler avec les Lakers sur les réseaux au lendemain d’un dîner avec LeBron James, la légende de la ligue Kevin Garnett a tranché dans le vif : pour le Big Ticket, Anthony Davis doit quitter les Pelicans et prendre la direction des Lakers. Et il l’a dit au principal concerné :

« J’ai dit ça à Davis face à face. Tu ne joues pas contre les mecs en face de toi chaque soir, tu joues contre l’histoire, mec. Anthony Davis qui joue à New Orleans, je ne veux pas dire que ce sont des jours perdus, mais ce sont des « non-jours ». Il doit être à un endroit où il est avec un autre gars pour tenter de gagner un titre. Il a été à New Orleans assez longtemps, ça y est. Le moment est venu de changer. Il n’y a pas de meilleur moment possible pour le faire »

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Les propos de KG ne devraient pas manquer de faire réagir beaucoup de monde, à commencer par les fans des Pelicans qui sentent que leur joueur peut leur échapper. Pour l’instant, la franchise ré-affirme sa volonté de conserver le joueur, une position tenable tant que The Brow ne manifeste pas son envie de quitter le navire. Si une telle demande venait à se produire, en revanche, la solution la plus sage pour New Orleans serait d’échanger sa superstar afin d’en tirer une contrepartie avant qu’il ne soit trop tard.

Anthony Davis doit se poser une multitude de questions alors que les jours passent et nous rapprochent inexorablement de la trade deadline du 7 février. Patience…

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