puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
La semaine passée, Giannis Antetokounmpo a eu la mauvaise surprise de constater que son compte Twitter avait été hacké. Quelques jours après, l’identité de la personne responsable semble avoir fuité.
En confinement auprès de sa famille, Giannis Antetokounmpo vient de vivre quelques jours agités. Son twitter, son téléphone, ou encore son compte bancaire ont tous été hackés, forçant le Grec à réagir rapidement dans la foulée afin de sécuriser ses données et poster un message d’excuse.
La personne concernée n’a pas pu garder son compte bien longtemps, une dizaine de minutes seulement, mais cela était malheureusement suffisant pour faire de sacrés dégâts.
Des tweets irrespectueux envers la famille Curry, James ou même Kobe Bryant et ses proches. Une attitude irresponsable, il est clair que le hackeur en question est allé beaucoup trop loin. Et si Giannis espère logiquement remonter jusqu’au responsable pour le traduire en justice, Internet semble l’avoir retrouvé pour lui.
Lire aussi | Le frère du pilote accuse Kobe et les passagers pour le tragique accident
Nous ne partagerons pas toutes ses données par principe, mais sachez qu’il s’agit d’un jeune de 16 ans seulement, habitant du côté du Royaume-Uni. Son adresse a également fuité sur internet, ainsi que d’autres informations le concernant.
Car s’il est assez doué pour hacker un joueur professionnel, il ne l’était pas suffisamment pour ne rien laisser derrière lui. Dans ses nombreux tweets, il a notamment mentionné une certaine « kaylee« , permettant de remonter jusqu’à lui.
Pire encore, il s’est vanté de ses exploits sur un serveur discord et quelqu’un ne s’est pas gêné pour partager la discussion. Le coupable est donc désormais retrouvé et la police devrait se charger du reste prochainement. Avec les comptes bancaires piratés, l’affaire est bien plus grave que de simples tweets, pour rappel.
L’auteur du hack de Giannis Antetokounmpo n’a pas mis longtemps à être retrouvé. Internet peut parfois faire des miracles.
