Sans respect, Juliette Armanet (39 ans) dégomme Michel Sardou : « C’est vraiment une…

Juliette Armanet et Michel Sardou
France TV (DR)

Dernier monstre sacré de la chanson française, Michel Sardou a toujours été une personnalité clivante, mais néanmoins respectée pour la longévité et la teneur de sa carrière. Mais visiblement, Juliette Armanet ne l’entend pas de cette oreille. Récemment, l’interprète de « Le dernier jour du disco » s’en est en effet vertement prise à son aîné, avec des propos pour le moins virulents sur l’une de ses chansons.

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Johnny Hallyday s’en est allé, Charles Aznavour et tant d’autres également. Alors inexorablement, Michel Sardou apparaît comme la dernière légende vivante encore parmi nous, artiste rescapé de toutes les décennies et turbulences qu’il a traversées. A 76 ans, l’homme aux 25 millions d’albums vendus s’apprête d’ailleurs à repartir en tournée, une dernière fois. Et pour l’occasion, les billets se sont envolés un temps record.

Mais si le public est toujours au rendez-vous, prêt à célébrer son immense carrière, Sardou continue d’avoir des détracteurs. Lui, provocateur devant l’éternel, y est habitué, et les critiques glissent sur lui depuis longtemps sans avoir le moindre impact sur son franc-parler et sa personnalité. De fait, l’interprète de « Je vais t’aimer » n’aura probablement rien à faire des propos récents de Juliette Armanet.

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Michel Sardou taclé sèchement par Juliette Armanet

Invitée du média en ligne Tiptik, la chanteuse a été questionnée sur la chanson qui pourrait carrément lui faire quitter une soirée. Sa réponse, sans la moindre hésitation :

Trois fois « Les lacs du Connemara ! » C’est vraiment une chanson qui me dégoûte. Le côté scout, sectaire, la musique est immonde. C’est de droite, rien ne va.



L’illustre parolier Pierre Delanoë, auteur du morceau culte avec Sardou, se retourne sûrement dans sa tombe face au triste tableau brossé de cette chanson qui a enchanté tant de fins de soirées à travers la France, et fait germer l’imaginaire d’une Irlande lointaine chez tant d’auditeurs.

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Au-delà de la violence des mots utilisés, c’est en filigrane principalement le côté « droite » que Juliette Armanet reproche à Sardou. Une étiquette qui colle à la peau du principal intéressé, qui a pourtant tenu à nuancer ce constat à plusieurs reprises. En 2021, il expliquait ainsi à Paris Match :

Je passe pour un réac’ parce que j’ouvre ma gueule, je dis ce que je pense. Mais quand on dit « Sardou est de droite », on sous-entend souvent d’extrême-droite. Or, ça, je ne l’ai jamais été. Quand on écrit une chanson, on ne pense pas à l’avenir du monde ni aux élections qui viennent. Il y a des chanteurs engagés, moi je n’ai jamais voulu en être un.

Je me suis piégé en écrivant souvent mes textes à la première personne. On a cru que je chantais ce que je pensais. Alors qu’une chanson, c’est comme une pièce : on raconte une histoire, on crée un personnage.

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Visiblement très à l’aise avec la notion de sectarisme, Juliette Armanet n’hésite pas à accuser « Les lacs du Connemara » d’être un morceau « sectaire », qui la « dégoûte » tout bonnement. Une sortie cash, clivante et osée, qui fera sûrement doucement rigoler Michel Sardou et ses 50 ans de carrière, mais qui a le mérite d’être honnête…

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