NBA – « Ce soir-là, j’ai joué alors qu’on venait de m’annoncer que j’avais la b*te cassée »

Les légendes NBA Michael Jordan (gauche) et Dennis Rodman (droite)
ESPN (DR) / Full Send Podcast (DR)

Dans une ère où le load management fait la loi en NBA, les forfaits de certains joueurs se justifient parfois de drôles de façons. Une légende de la ligue, elle, affirme à l’inverse avoir tenu à prendre part à une rencontre… malgré sa blessure aux parties intimes.

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À l’instar de nombreux débats du même genre, celui opposant la NBA de la vieille époque à l’ère contemporaine ne connaitra sans doute jamais de résolution. Et pourtant, chaque camp continue d’avancer des arguments pour obtenir gain de cause. Les fans de longue date ne cessent par exemple de mettre en avant la robustesse des stars d’antan, selon eux bien plus louable que celle des gros noms actuels.

Pratique aujourd’hui courante dans la ligue, le load management se révélait à vrai dire plutôt rare, voire inexistant pendant longtemps. Les figures du circuit n’avait en effet pas pour habitude de se cacher derrière un petit pépin physique pour se préserver en vue des playoffs. Certaines d’entre elles pouvaient même parfois évoluer avec de sacrées blessures peu orthodoxes. Demandez plutôt à Dennis Rodman.

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L’horrible blessure intime qu’a surmontée Dennis Rodman

Titulaire d’une vie sexuelle très agitée durant sa carrière, Rodman a déjà révélé par le passé ses multiples accidents… au pénis. Il s’est d’ailleurs à nouveau exprimé sur le sujet pour VladTV :

Ouais, c’est quelque chose d’assez légendaire à propos de moi. C’était le bon vieux temps. Ça arrivait d’un seul coup, et sans trop savoir comment, je me retrouvais à l’hôpital.



La fille était là, genre, en train de chialer, et elle me disait, « Oh mon Dieu, est-ce que t’es en train de mourir ?! » J’étais là, « Je sais pas, je le suis ? »

Fort heureusement, ces épisodes n’ont bien évidemment pas coûté la vie de Rodzilla. En réalité, l’un d’eux ne l’a même pas empêché de prendre part à une rencontre face à Houston… 24 heures plus tard :

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Le lendemain, on s’est rendu dans les installations d’entrainement de Houston dans le centre-ville et tout le monde était au courant. J’étais là, « Oh non. » Le docteur m’a dit, « OK Dennis, tu sais qu’on sait de quoi tu souffres. » Il m’a balancé, « Ton pénis est contusionné. » Je lui ai répondu, « Puisque vous savez ce que c’est, donnez moi un terme plus parlant. »

Du coup, ce soir-là, j’ai joué alors qu’on venait de m’annoncer que j’avais la b*te cassée.

Avec ces maigres éléments de contexte, difficile de déterminer de quel match contre les Rockets il s’agit, et donc de retrouver les détails de la prestation de Rodman. Quoi qu’il en soit, ce récit montre bien la résistance au mal qu’il pouvait afficher, mais aussi son quotidien décidément peu commun.

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Malgré ses péripéties sous les draps et les dommages subis au niveau de son entrejambe, Dennis Rodman aurait donc évolué comme si de rien n’était face aux Rockets. Rien ne pouvait décidément arrêter The Worm durant ses grandes heures !

Déclarations Dennis Rodman NBA 24/24

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