À 52 ans, Adriana Karembeu balance sur son père : « Un pervers, quand j’avais 7 ans il m’a…

Adriana Karembeu
France TV (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Devenue l’une des mannequins les plus connues du monde entier, ainsi qu’une femme de médias à succès, Adriana Karembeu n’est pas exemptée de traumatismes et de souffrances de jeunesse. L’une d’entre elles concerne son père, qui a eu un comportement pour le moins malvenu avec elle alors qu’elle était encore enfant. Elle s’en est expliquée.

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Alors qu’elle fait actuellement parler d’elle pour la sortie de son livre, « Ma cuisine gourmande sans grossir », Adriana Karembeu peut aussi se retourner et être fière du chemin parcouru. En plus de ses activités d’autrice, la native de Brezno en Slovaquie a connu plusieurs succès à la télévision française, ainsi que dans les affaires. Tout cela, bien sûr, s’ajoute à sa grande carrière dans le mannequinat.

Adriana Karembeu révèle l’attitude indigne de son père avec elle

Si tout paraît pourtant rose et sans heurts en apparence, l’ancienne femme de Christian Karembeu a dû gérer un traumatisme majeur dans sa jeunesse. Fille d’une femme médecin qu’elle a toujours admirée, la belle blonde a eu beaucoup de plus de mal dans sa relation avec son père, qui, d’après elle, a toujours préféré sa soeur.

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Dans un entretien à « Télé Star », l’acolyte de Michel Cymès sur France 2 avait même révélé des propos particulièrement virulents de Miroslav à son égard :

À 7 ans, mon père m’a dit qu’il ne m’aimait pas. Ça m’a donné la rage de plaire. Plaire, ça signifie que quelqu’un nous aime, même si c’est faux au fond.



Portée par cette « rage », Adriana Karembeu estime que ce rejet a conditionné sa réussite dans le mannequinat, qui lui est tombée dessus au milieu des années 1990 :

Cette histoire de mannequinat est tellement bien tombée pour moi. On est applaudi, idolâtré. Ce métier a mis des pansements sur mes bobos.

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Bien sûr, la gloire, le strass et les paillettes ne permettent pas de tout guérir, loin de là. Pourtant, et également au prix d’un travail sur elle-même, la mère de Nina a réussi à tourner la page de cette relation toxique avec son père. C’est pourquoi elle dans ce même entretien, elle déclarait sans détour et avec détachement :

J’ai épuisé le sujet, et je préfère avancer. Mon père est un pervers narcissique irrécupérable. Il a trop longtemps pourri ma vie. J’ai coupé les ponts avec lui depuis des années. Tout va bien.

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Il est forcément triste de voir une relation entre père et fille être si malsaine et, désormais, inexistante, mais il convient surtout de se féliciter de la capacité d’Adriana Karembeu à surmonter cet épisode qui aurait pu la détruire. En tout cas, une chose est sûre : la Slovaque a pris une belle revanche sur son ancien bourreau !

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