Exilé au Maroc, le train de vie dingue de Teddy Riner (35 ans) : « Il est devenu…

Teddy Riner et sa vie au Maroc
France Judo (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Après un nouveau triomphe aux Jeux Olympiques, qui a un peu plus cimenté sa légende, Teddy Riner a bien mérité quelques vacances. Peut-être les prendra-t-il du côté de Marrakech, son nouveau havre de paix et de travail, où il s’est établi il y a plusieurs mois. Avec un style de vie pour le moins aisé !

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Si son attachement à la France n’est plus à prouver, c’est dans la région de Marrakech que Teddy Riner a trouvé son bonheur il y a quelques temps déjà. Pour lui, comme il l’expliquait à « Gala »,

J’ai besoin de douceur, de sérénité et de tranquillité pour encaisser les importantes doses de travail que je m’inflige, loin de la pression parisienne.

Des propos qu’il avait confirmés au micro de « 66 Minutes » :

J’aime cette ville, ce pays, le Maroc. Il y fait beau, j’ai des conditions d’entraînement et de vie idéales, et des adversaires marocains et français qui me challengent au quotidien. Avec l’âge, j’ai compris que mon cadre de vie était essentiel dans ma réussite.

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La vie luxueuse de Teddy Riner au Maroc

Attaché à cet équilibre entre travail et confort, Riner ne lésine pas sur les moyens : lui et sa famille logent du côté du Royal Mansour, un palace 5 étoiles parmi les plus réputés de la ville, qui appartient d’ailleurs à Mohamed VI. Le prix de la suite familiale ? « Le Monde » a mené sa petite enquête :

Pour le mois de mai, le site de l’hôtel propose la suite familiale à 4.500 euros la nuit.



Pour se déplacer, là encore, le judoka ne fait pas forcément dans la discrétion. Toujours d’après le célèbre quotidien, il alterne, par exemple, entre Rolls-Royce et Maserati. Un cocktail qui semble en tout cas fonctionner à merveille pour le natif de Pointe-à-Pitre, comme l’a prouvée sa nouvelle médaille d’or aux JO de Paris.

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Mais du haut de ses 35 ans, Riner pense également à l’avenir. Comme son ami Tony Parker, il enfile de plus en plus souvent son costume de businessman (« Riner a depuis augmenté ses investissements dans l’immobilier, la restauration, les hôtels et la logistique au Maroc »). Sa psychologue Meriem Salmi confirme :

Teddy est devenu un mari, un père de famille, un homme d’affaires en plus d’être un athlète très sollicité. Il doit apprendre à garder son équilibre et son authenticité. C’est un travail de tous les jours.

Force est de constater que tout mis bout à bout, le colosse s’en sort particulièrement bien !

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Il est primordial pour un athlète de trouver les conditions idéales pour sa préparation, et Teddy Riner les a trouvées du côté de Marrakech. Entre cadre de vie idéal et travail acharné, le Guadeloupéen livre la version de lui-même. Et on espère que ce sera encore le cas aux JO de 2028 à Los Angeles, où il espère raccrocher sur un triomphe.

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