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Par Mathieu Seguin | Rédacteur sport
La nouvelle a pris de court une bonne partie de la fanbase des Lakers. Darvin Ham, pourtant limogé après une saison jugée décevante à Los Angeles, et aujourd’hui aux Bucks, serait désormais dans le viseur des Knicks et des Suns. Une information révélée par Marc Stein ce week-end.
L’actuel assistant des Bucks sous Doc Rivers pourrait se voir offrir une seconde chance à la tête d’une équipe NBA. Selon Marc Stein, les Suns et New York — fraîchement coaché par Mike Brown — souhaiteraient attirer Darvin Ham dans leur staff. Une évolution qui étonne beaucoup d’observateurs, du moins chez les Lakers.
« Phoenix et maintenant New York — après la nomination de Mike Brown comme coach des Knicks — ont manifesté leur intérêt pour tenter de recruter Darvin Ham loin des Bucks », rapporte The Stein Line. Une rumeur à laquelle de nombreux fans ont réagi avec sarcasme, clairement surpris par l’intérêt porté envers Ham.
Le passage de Ham à L.A. toujours critiqué
À Los Angeles, Ham a laissé une image mitigée. Accusé de mal gérer sa rotation, de ne jamais trouver de système clair autour de LeBron James et Anthony Davis, il a été largement pointé du doigt pour l’échec collectif malgré un effectif compétitif.
Certains choix tactiques ont souvent dérouté, comme l’utilisation de joueurs hors de position ou le manque d’adaptations en playoffs. Ce sont justement ces lacunes qui ont conduit à son départ quelques jours après l’élimination face aux Nuggets. Pour le plus grand bonheur des supporters.
Les fans, eux, n’ont pas oublié. « En tant que fan des Lakers, je peux vous dire que Ham n’est pas l’homme qu’il vous faut », « Bon courage avec ça » ou encore « Arrêtez de jouer avec moi », peut-on lire parmi les nombreuses réactions sur les réseaux.
Pour les Knicks comme pour les Suns, il s’agirait d’un rôle d’assistant, ce qui limiterait son impact sur les décisions stratégiques. Mais même dans ce cadre, son nom continue de diviser et d’alimenter les débats. Reste à voir si Ham acceptera un nouveau challenge sur un banc très exposé. En attendant, du côté de L.A., on observe tout cela avec une certaine surprise… et un brin d’ironie.
