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Par Mathieu Seguin | Rédacteur sport
Depuis le début de l’EuroBasket, un détail intrigue autant les fans que les observateurs : Luka Doncic apparaît régulièrement avec des traces de sang sur les genoux. Ce phénomène n’est pas nouveau, puisqu’il dure depuis près de deux ans, mais il refait surface avec insistance à mesure que la compétition avance.
La dernière apparition du phénomène a eu lieu face à l’Italie, où des images montrent plusieurs blessures visibles sur son genou gauche. Rien ne semble altérer sa performance, mais la récurrence de ces plaies alimente les interrogations. Comment un joueur de ce niveau peut-il accumuler de telles blessures superficielles sans qu’une solution claire ne soit trouvée ?
Comme l’a rappelé un fan sur les réseaux sociaux, « Les genoux de Luka se mettent à saigner presque à chaque match depuis deux ans, et je ne comprends toujours pas pourquoi ça continue ». Ces traces de sang ne datent donc pas d’hier, et renforcent le mystère entourant la préparation physique et le suivi médical du joueur slovène.
Un détail qui intrigue à chaque apparition de Doncic
L’éternel problème semble lié aux chocs répétés au niveau des genoux, probablement dus à sa manière de jouer, toujours dans le contact et la puissance. En pénétration comme au poste bas, Doncic utilise son corps comme un véritable bouclier, ce qui pourrait expliquer des frottements et impacts réguliers. Si ces blessures superficielles ne mettent pas son intégrité en danger immédiat, elles soulèvent néanmoins la question de leur traitement sur le long terme.
La Slovénie, qui mise tout sur sa star pour aller le plus loin possible dans cet EuroBasket, ne peut se permettre de voir Doncic freiné par des problèmes physiques évitables. L’enchaînement des matchs, combiné à la rudesse des défenses adverses, rend cette fragilité encore plus visible. Le staff médical devra donc redoubler de vigilance pour éviter toute complication, même mineure.
Reste que ces images répétées laissent planer une interrogation : ce problème anodin en apparence pourrait-il finir par avoir un impact sur la durée et sur la capacité de Doncic à tenir l’intensité jusqu’au bout du tournoi ?
