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Par Mathieu Seguin | Rédacteur sport
Et si un échange inattendu venait redessiner la fin de carrière de LeBron James ? Depuis plusieurs jours, les signaux se multiplient autour d’un potentiel départ de la star des Lakers. Un nom revient avec insistance dans les discussions : celui de Bradley Beal. Un swap 1-contre-1, impensable il y a quelques mois, est imaginé par un internaute.
Le contexte joue clairement en faveur de ce scénario. LeBron James et son agent Rich Paul scrutent de très près les décisions du front office des Lakers, frustrés par un projet qui semble viser 2027 plus que 2025. Si les ambitions immédiates ne sont pas comblées, James pourrait finir par demander un départ, comme plusieurs insiders l’ont récemment suggéré.
Beal aux Lakers, un puzzle logique ?
Côté contrat, LeBron et Bradley Beal s’alignent étonnamment bien selon ce fan. « LeBron James et Rich Paul surveillent de près la situation des Lakers. Il chercherait à terminer sa carrière ailleurs s’il juge ne plus pouvoir viser le titre à Los Angeles. Et les Lakers veulent garder de la flexibilité pour 2027, année où le contrat de Bradley Beal expire » expliquait un compte spécialisé dans les mouvements NBA, soulignant la complémentarité des calendriers.
« Beal a déjà affirmé qu’il serait prêt à lever sa clause de non-transfert pour rejoindre une équipe de Los Angeles. L’All-Star Game aura lieu à Phoenix en 2027, et le fils de LeBron, Bryce James, joue en Arizona… Tout semble lié. » Autant d’éléments qui donnent de la crédibilité à un deal dont les implications dépasseraient le cadre sportif.
Un autre point renforce cette possibilité : les Lakers sont la seule équipe actuellement en mesure d’absorber le contrat de Beal sans exploser leur masse salariale, tout en construisant autour de Luka Doncic à moyen terme. De leur côté, les Suns verraient d’un bon œil l’arrivée d’un leader expérimenté pour encadrer Devin Booker.
Ce potentiel échange intervient dans un contexte où les Lakers peinent à convaincre leur star historique de rester dans un projet jugé trop tourné vers le futur. LeBron, 40 ans, a encore soif de titre et son influence sur le vestiaire est immense. Un changement de décor pourrait s’avérer salvateur pour lui comme pour la franchise.
Si cet échange ne reste encore qu’une hypothèse, il illustre à quel point l’équilibre des Angelinos est fragile. Chaque décision prise cet été sera scrutée par le clan James, et la moindre erreur pourrait déclencher une réaction en chaîne. Beal n’est peut-être pas la star rêvée par les fans, mais il pourrait devenir la clé d’une nouvelle ère à Los Angeles.
