NBA – La technique originale de maman Beal pour développer le tir de son fils

Bradley Beal est devenu le plus jeune joueur de l'histoire à atteindre les 1 000 3-points inscrits en carrière

Aujourd’hui devenu un des meilleurs arrières de la ligue, Bradley Beal s’appuie en grande partie sur son tir très efficace. Un tir qu’il doit à sa maman.

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Après des années de dur labeur, on peut l’affirmer sans trop de mal : Bradey Beal fait partie des arrières d’élite de la ligue. Le joueur des Wizards sort d’une saison à 25.6 points à 47.5% au tir, 5 rebonds, 5.5 passes, 1.5 interception et 0.7 contre par match. Des career-high dans toutes les catégories.

En l’absence de John Wall, toujours gravement blessé, Beal aura encore plus de responsabilités pour la saison à venir, et pourrait carrément prétendre à être All-Star et All-NBA.

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Une nouvelle fois, l’arrière comptera beaucoup sur jump shot. Shooteur adroit à mi-distance et à plus de 38% à 3 points en carrière, Beal sait que son tir est une de ses armes majeures. Et pour The Players Tribune, il a clairement expliqué qui en était à l’origine :

Quand les gens me demandent comment j’ai développé mon jumper ? La réponse est facile : Maman Beal me l’a appris.

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Pour entrer dans les détails, sachez que la mère de Bradley a joué au basket à l’université de Kentucky dans sa jeunesse, et a ensuite coaché dans sa région. En cours de route, elle a profité de cette expérience et de son savoir pour en faire bénéficier ses 5 fils, dont celui qui est devenu l’arrière des Wizards.

Sa technique ? Bradley passait beaucoup de temps à shooter sur son mini-panier dans la maison, et sa mère observait les défauts dans sa mécanique de tir. Une fois identifiés, elle laissait des post-its un peu partout dans la maison avec des conseils sur ce qui devait être gommé ou rectifié. Original, mais visiblement très, très efficace.

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Après une année réussie pour les Gators en NCAA, Beal a été drafté par les Wizards en 2012, avec le 3ème choix. Depuis, c’est une progression constante pour l’arrière, qui semble néanmoins se laisser de la stagnation de la franchise de la capitale.

Le shooteur esquive en effet le sujet d’une prolongation max, et il ne serait pas surprenant, à 27 ans l’an prochain, de le voir rejoindre une équipe beaucoup plus propice à jouer les playoffs et à y briller.

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Bradley Beal peut en tout cas remercier sa mère pour ses précieux conseils. Sans elle, pas sûr qu’il aurait atteint le niveau qui est le sien aujourd’hui.

Bradley Beal Chroniques NBA 24/24 Washington Wizards

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