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Généralement, les joueurs NBA préfèrent rester loin des rumeurs de transferts, pour ne pas être distrait. Bradley Beal, lui, n’a pas pris ses précautions en plongeant tête la première dans les histoires.
En NBA, quand une équipe patine ou a du mal à franchir un cap, elle peut tenter de redynamiser son groupe en effectuant un trade. Le meilleur des exemples est celui des Lakers et d’Anthony Davis.
Alors jusqu’à la date limite des transferts, cette saison le 7 février, de nombreuses rumeurs vont naitre puis aboutir, ou, le plus souvent, mourir. Surtout si les joueurs concernés ne réagissent pas à toute cette excitation.
Parmi les stars régulièrement citées dans ces rumeurs, on retrouve l’arrière des Washington Wizards Bradley Beal. Les joueurs de son calibre ne courent pas les rues. Alors logiquement, les prétendants sont nombreux.
À 26 ans, le double all-star semble avoir fait le tour dans la capitale américaine. Abandonné par un John Wall trop souvent blessé et une équipe qui manque cruellement de talent, Beal, si l’on en croit son compte Twitter, semble ne plus prendre la peine de cacher ses velléités de départ.
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S’il ne s’est pas exprimé clairement en faveur d’un départ, ses « likes » peuvent parler pour lui. Il y a quelques jours, l’arrière a été surpris à aimer un tweet qui l’imaginait sous d’autres couleurs.
I can't wait for my guy @RealDealBeal23 to do this in a Miami Heat jersey 😇 one day 😩 https://t.co/paEqiYdkiA
— RPJ (@rpj616_) October 13, 2019
Je suis impatient de voir mon gars Bradley Beal faire ça avec un maillot du Heat de Miami. Un jour…
Pour les fans des Wizards, espérons que le like fasse écho à la dernière partie du message. Celle disant « un jour ». Car si c’est la substance première que Beal aime, le divorce pourrait être proche.
Une chose est sûre, les rumeurs autour de Bradley Beal n’ont pas fini de tourner. Surtout quand on sait qu’il refuse depuis cet été de signer une prolongation de 3 ans et 111 millions de dollars.
