NBA – Le bizutage hardcore de J.J Redick lorsqu’il était rookie

JJ Reick sous le maillot du Orlando Magic
Chris Humphreys

Principalement connu du grand public depuis son passage chez les Clippers, J.J. Redick a pourtant passé plus de six saisons à Orlando après avoir été drafté par la franchise. Le shooteur a récemment dévoilé l’anecdote du premier bizutage qu’il a subi en tant que rookie, et il était plutôt sévère.

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Ce n’est un secret pour personne, chaque rookie a le droit à son bizutage à son arrivée dans la ligue. Que ce soit via le port d’un sac ridicule, l’obligation d’acheter des beignets pour toute l’équipe à chaque entraînement, ou encore la découverte de leur voiture remplie de confettis, les débutants en voient généralement de toutes les couleurs.

Les vétérans de chaque franchise rivalisent ainsi d’inventivité pour embêter – voire humilier – leurs jeunes coéquipiers qui manquent logiquement encore de confiance. J.J. Redick, qui a débarqué dans la ligue en 2006, n’a pas échappé à ce traitement, comme il l’a raconté récemment dans son podcast.

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Drafté par le Magic en 11e position de la lotterie, l’arrière rejoignait alors une équipe notamment emmenée par plusieurs anciens de la ligue comme Grant Hill, Bo Outlaw ou Tony Battie. Malgré un passage de quatre ans dans un programme aussi réputé et strict que celui Duke, il a rapidement commis une erreur qui lui a coûté cher.

Arrivé en retard à un entraînement, le jeune joueur a logiquement vu son comportement puni par ses aînés. Mais la sanction s’est révélée bien plus surprenante que prévue : alors qu’il lui a d’abord simplement été demandé de s’asseoir sur une chaise et de s’excuser auprès de toute l’équipe, Redick a subi un bizutage bien coriace.

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J’étais tout habillé, je me suis assis sur la chaise, et dès que je me suis mis dessus, trois gars m’ont attrapé. Ils m’ont scotché à la chaise, m’ont emmené jusqu’aux douches, et l’eau coulait. C’était super froid, ils l’ont laissé froide, et ils m’ont laissé pendant au moins une heure. Tout le monde a quitté l’entraînement, et le concierge m’a trouvé une heure plus tard.

S’il n’a pas donné les noms de ses assaillants, il serait étonnant que Dwight Howard, déjà grand blagueur et bien intégré dans l’équipe à l’époque, n’ait pas été dans le coup.

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Quoiqu’il en soit, il apparait peu probable qu’un tel supplice soit appliqué de nos jours à un rookie de la ligue en guise de bizutage. À l’image du jeu, les méthodes pour châtier les premières années semblaient bien différentes dans les années 2000.

L’épisode n’aura malgré tout pas empêché Redick de s’intégrer dans l’équipe et de jouer un rôle dans sa qualification en playoffs durant cette saison. Il ne quittera finalement la franchise floridienne qu’en 2013 pour Milwaukee, et en a principalement conservé cette anecdote folle.

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Si l’heure en question n’a pas dû être la plus agréable de la vie de J.J. Redick, elle lui a certainement enseigné l’importance de la ponctualité en NBA.

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