NBA – Les moves les plus inarrêtables de l’histoire

Michael Jordan et Dirk Nowitzki illustrent parfait la définition d'un mouvement inarrêtable
(DR)

Dans l’histoire, certains joueurs ont réussi la prouesse d’élever des mouvements au rang d’art. Retour sur quelques unes de ces partitions parfaites, qui ont fait tourner les défenseurs en bourrique pendant tant d’années.

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Au basket, même si beaucoup d’éléments entrent en compte, le principe reste, et restera toujours le même : mettre le ballon dans le panier. Jusqu’à preuve du contraire, c’est comme ça que se gagne un match. Mais si c’était si simple, tout le monde pourrait prétendre à un énorme contrat en NBA, or c’est loin d’être le cas…

Certains, assurément plus doués que la moyenne, ont réussi à trouver une technique, un mouvement, qui rendait facile le fait de marquer des points. Retour sur ces moves inarrêtables, et les légendes qui y sont associées.

Le Skyhook de Kareem Abdul-Jabbar

La définition même d’un toucher de velours… Si Kareem Abdul-Jabbar est devenu le meilleur marqueur de l’histoire de la NBA, c’est en grande partie grâce à ce tir qui a pour réputation d’être impossible à contrer. Malheureusement, aucun pivot depuis lui n’a relevé le challenge de perfectionner l’un des gestes les plus techniques de l’histoire.

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Le Dream Shake d’Hakeem Olajuwon

Mesurer 2m13 et posséder un jeu de jambes si rapide, si fluide, c’est indécent… Ses capacités physiques naturelles, Hakeem « The Dream » s’en est servi pour créer l’un des meilleurs mouvements au poste bas de l’histoire : le « Dream Shake ». Une feinte d’un coté, une rotation de l’autre, et le n°1 de la draft 1984 s’ouvrait automatiquement le chemin du panier. Et quand il décidait de conclure par un petit tir à mi-distance, c’était « swish » à coup sûr.

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Le Fadeaway à une jambe de Dirk Nowitzki

Quand Dirk Nowitzki se trouvait dos au panier, tout le monde savait ce qui allait se passer… Un petit coup d’épaule dans l’adversaire pour créer la séparation, puis une prise d’appuis à un pied pour déclencher son fadeaway si unique, et le résultat était souvent le même : 2 points. En 2011, il a d’ailleurs torturé la défense du Heat avec ce geste, et obtenu une bague inespérée face au Tres Amigos.

Le Fadeaway de Michael Jordan

C’est l’un de ces gestes qui a encore une influence sur la ligue 20 ou 30 ans après. Dans les années 90′, Michael Jordan a maitrisé le jeu à mi distance mieux que quiconque dans l’histoire, et son fadeaway est l’emblème de sa domination au poste. À part peut-être Kobe Bryant, aucun joueur n’a perfectionné, et ne perfectionnera ce mouvement comme l’avait fait le sextuple champion NBA.

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Le Crossover d’Allen Iverson

Quel est le premier souvenir d’Allen Iverson balle en mains qui vous vient en tête ? Nous sommes prêts à parier qu’il s’agit soit soit de son tir par dessus le pauvre Tyronn Lue, soit de son énorme crossover sur Michael Jordan lors de son année rookie… L’influence de Tim Hardaway est énorme sur ce dribble, mais dans l’imaginaire collectif il n’y a aucun doute, le cross, c’est Allen Iverson.

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L’Eurostep de Manu Ginobili

Entre le « teardrop » de Tony Parker, le tir avec la planche de Tim Duncan, et l’eurostep de Manu Ginobili, chaque membre du Big 3 des Spurs avait son geste signature. Honneur ici à l’Argentin, car contrairement aux deux autres, il est le seul à éliminer automatiquement un adversaire pour s’ouvrir le chemin du panier. L’influence de ce geste n’est pas négligeable.

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Évidemment, tous les gestes les plus destructeurs de l’histoire n’ont pu être montrés dans cet article. Une partie 2 est à venir dans les prochains jours où les prochaines semaines.

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