Si la NBA n’a jamais été aussi offensive que ces dernières années, la défense reste évidemment une part prépondérante du basket. Et pour le faire comprendre à ses coéquipiers, un jour réputé en la matière a trouvé une technique pour le moins originale…
Il ne faut pas s’y tromper : si la NBA est populaire auprès d’une bonne partie du grand public pour ses highlights offensifs, la défense demeure prépondérante pour espérer quoi que ce soit dans le haut du panier, une fois les playoffs venus. C’est d’ailleurs pour ça que la ligue est encore peuplée de nombreux spécialistes défensifs, au rang desquels figure un certain… Patrick Beverley.
Connu pour sa hargne et son côté pitbull sur les parquets, le teigneux meneur originaire de Chicago ne recule devant rien pour désarçonner les attaquants adverses. Il faut dire que Pat Bev a sa propre vision des choses pour se motiver, et il est allée la chercher assez loin…
Pat Bev frappe fort pour faire comprendre à ses coéquipiers l’importance de la défense
Récemment, le journaliste Chris Hine a relayé une savoureuse anecdote sur ce qu’a dit l’ancien des Clippers à ses coéquipiers du Minnesota pour leur faire comprendre l’importance de la défense :
Nate Knight relayed this analogy Pat Beverley told the team recently:
— Chris Hine (@ChristopherHine) December 31, 2021
"Defense is kind of like your mom. Offense is like your girlfriend. One day she’s there. One day she’s not. Offense is going to be hit or miss, but defense is something you can control. It’s all heart, mind."
Nate Knight a relayé une analogie que Patrick Beverley a récemment dite à l’équipe :
« La défense, c’est comme ta mère. L’attaque, c’est comme ta copine. Un jour elle est là, un jour elle est pas là. L’attaque ça dépend des fois, alors que la défense c’est quelque chose qu’on peut contrôler, qui vient du coeur et de la tête ».
C’est très imagé, mais ça a le mérite d’être clair. Les Wolves en auront bien besoin, eux qui sont encore trop souvent sur courant alternatif en défense. La nuit dernière, par exemple, les coéquipiers d’Anthony Edwards ont concédé 120 points au Jazz, dans la défaite 120-108.
Avec une telle analogie, on imagine que le message est clairement passé auprès de tous les joueurs des Wolves. Du leadership original… mais validé !