À 52 ans, Charlotte Gainsbourg dévoile le fantasme que lui refuse Yvan Attal : « J’ai le fantasme de…

Charlotte Gainsbourg et Yvan Attal
France TV (DR) / Clique (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Projetée très vite dans la lumière publique, Charlotte Gainsbourg a tout de même réussi à trouver un bel équilibre dans sa vie privée avec Yvan Attal, dont elle partage la vie depuis 1991. Il subsiste pourtant un fantasme bien précis pour lequel l’actrice, qui l’assume, ne parvient pas à convaincre son compagnon. Peut-être, sait-on jamais, que cette sortie médiatique fera pencher la balance…

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Voilà plus d’un an qu’elle est seule. Bien sûr, Charlotte Gainsbourg est toujours entourée d’Yvan Attal, comme depuis 33 ans, et de leurs enfants Ben, Alice et Jo. Mais elle n’a désormais plus sa mère, Jane Birkin, disparue en juillet dernier, un peu plus de trois décennies après le décès de Serge Gainsbourg. Et pour l’actrice, le virage est très dur à négocier.

C’est dans ce contexte qu’une fois de plus, Yvan Attal fait preuve d’une grande patience pour l’accompagner dans cette épreuve. Après la mort de l’homme à la tête de chou, déjà, Charlotte Gainsbourg estime qu’elle avait mis 10 ans à s’en remettre. Et cette fois-ci, son deuil pourrait bien passer par une décision particulière, qui semble l’obséder.

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Charlotte Gainsbourg rêve d’Angleterre, pas Yvan Attal

Interrogée par « Madame Figaro », celle qui a remporté deux Césars en 1986 et 2000 a révélé son souhait, ou plutôt son « fantasme », pour reprendre son terme, de traverser la Manche et de s’y installer, dans le Londres natal de sa mère :

J’ai le fantasme d’aller vivre à Londres, mais Yvan rejette l’idée catégoriquement. C’est peut-être un garde-fou, je ne sais pas si j’aimerais… Mais cette idée m’attire.



Il faut dire que pour la fille de « Gainsbarre », l’attachement à l’Angleterre a toujours été profond, ce qui motive ce doux rêve. Elle confie ainsi :

Moi, j’ai eu un rapport très heureux, petite, à l’Angleterre où on allait voir les parents de ma mère. Là-bas, pareil, j’aimais jouer la Française, alors qu’ici, j’aime me sentir un peu étrangère. Avoir un côté anglais. Même si ma sœur Kate possédait une identité anglaise beaucoup plus claire – ses deux parents l’étaient. Ma sœur Lou aussi, car ma mère lui parlait en anglais, alors que quand je suis née, elle s’obligeait à parler français

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Pour l’instant, en revanche, le projet n’a pas abouti. Arrivé à Créteil très jeune, Yvan Attal est un pur produit de la région parisienne, tant et si bien qu’il n’avait pas suivi sa chère et tendre lorsque celle-ci s’était exilée à New York entre 2013 et 2020. À l’époque, elle avait souhaité prendre le large pour se remettre du décès tragique de sa soeur Katy Barry, comme elle l’avait raconté au Parisien :

La perte de ma sœur m’a à nouveau détruite. (…) Grâce à une espèce d’exil, je me suis reconstruite avec mes enfants, ailleurs, et puis je suis revenue. Je réalise que c’est plus facile de vivre ailleurs qu’à Paris à cause des souvenirs de ce que Paris a pu être et n’est plus pour moi.

Ayant grandi en France et en Suisse, Charlotte Gainsbourg semble souhaiter sur le tard se rapprocher des origines de sa défunte mère Jane Birkin, en rejoignant l’Angleterre. Un projet qui relève néanmoins seulement du fantasme à ce stade, et qui ne paraît pas trouver un écho favorable auprès d’Yvan Attal. Affaire à suivre…

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