NBA – Anthony Edwards justifie son trash-talking sur LeBron James : « Je voulais lui montrer ça »

Les superstars NBA LeBron James (gauche) et Anthony Edwards (droite)
NBA (DR)

Par Rédaction | Sport

Anthony Edwards est en mission pour briser les rêves de toutes les légendes. Un an après avoir massacré Kevin Durant et les Suns, il fait son possible pour venir à bout de LeBron James et des Lakers. Après son carton à 43 points, il est revenu sur son accrochage avec le King.

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Lorsque les Timberwolves ont décidé d’échanger Karl-Anthony Towns contre Julius Randle et Donte DiVincenzo pour des raisons économiques, rares sont ceux qui comprenaient la vision des dirigeants. Il faut dire que KAT était un enfant de la franchise, le complément parfait pour Anthony Edwards, son départ aurait donc pu avoir des conséquences redoutables.

La saison régulière des hommes de Chris Finch a d’ailleurs été compliquée, eux qui ont dû se contenter de la 6ème place dans la conférence Ouest. Mais ce que les fans ont sous-estimé dans tout ça, c’est l’immense talent d’Ant Man. Quand les playoffs arrivent, il hausse considérablement son niveau de jeu et son intensité. Il est prêt à écraser tous ses adversaires, y compris la légende LeBron James :

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Anthony Edwards parle de son accrochage avec LeBron



Un an après avoir mis 4-0 à Kevin Durant et Phoenix, Anthony Edwards s’attaque à LeBron James avec la balle, mais aussi avec ses mots. Et si les Timberwolves se qualifient, l’arrière pourrait retrouver la dernière légende du trio, à savoir Stephen Curry. Avant de se projeter, le n°5 est revenu sur son petit accrochage avec le King et les raisons qui l’expliquent :

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C’est une série qui va être physique. Sur cet accrochage, je pense que j’essayais de faire passer un message. Je voulais lui montrer que nous sommes bien là, que nous n’allons pas nous laisser bousculer toute la soirée. Je ne vais pas vous mentir, il est vraiment costaud, c’est difficile de le contenir. À un moment, dos au panier, il m’a enfoncé sous le cercle.

Il est beaucoup plus costaud que moi, mais je voulais qu’il sache que je n’allais pas reculer devant lui, que j’allais être une peste à chaque fois que je devais défendre sur lui. J’essayais de rentrer dans sa tête. Nous avons joué ensemble l’été dernier avec Team USA et il était comme mon grand frère. Il m’a appris à lire le jeu, à être intelligent, et là je voulais juste est une peste.

Anthony Edwards a peut-être été pris sous son aile pour LeBron James l’été dernier, mais hors de question de courber l’échine sur cette série de playoffs. Mission accomplie pour l’arrière, car grâce à ses 43 points, les Timberwolves ont pris l’avantage 3-1 dans la série.