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Comment réussir un match post-deadline ? C’est simple, vous placez un record de franchise dès le début et vous mettez une fessée à l’un des favoris pour le titre en juin prochain. Cette recette est proposée par les Wolves.
13. Non ce n’est pas le nombre de trois points mis par Karl-Anthony Towns cette nuit mais bien la série de défaites en cours des Wolves avant hier soir. 13 défaites de suite. Pour vous situer un peu mieux le contexte, KAT n’avait pas gagné un match depuis le mois de novembre, enfin jusqu’à hier soir.
Ce samedi soir, les Wolves ont décidé de se réveiller et de taper les Clippers, 142-115. Une raclée sans D’Angelo Russell, absent, mais possible grâce aux nouveaux venus. Quelques dirigeants doivent se frotter les mains dans le Minnesota.
Car si on doit le rappeler, les Wolves ont été actifs avant la deadline. La frustration se faisait ressentir et notamment chez Towns. Pour le front office, pas question de décevoir sa star, alors les trades sont arrivés en pagaille.
Et hier soir, les nouveaux venus ont tapé dans le mille : c’est le cas de le dire. Malik Beasley, Juancho Hernangomez ou même James Johnson en sortie de banc ont tous pesé sur la rencontre.
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Hernangomez ? 14 points (4/6) et 3 passes. Beasley ? 23 points (7/13 à trois points dont 6 en première mi-temps) et 10 rebonds. Johnson ? 15 points en sortie de banc à 6/9 au tir. Vous ajoutez les 22 points, 9 passes, 13 rebonds de KAT ou encore l’improbable coup de chaud de Jordan McLaughlin (24 points à 11/15) et voilà comment mettre une raclée aux Clippers.
En prime ? 26 tirs primés au total dans la rencontre sur 44 tentés : record de franchise pour Minnesota.
Ce n’est qu’un match, mais les Wolves ont frappé très fort pour mettre fin à leur série de défaites. Maintenant, on est curieux de voir la suite avec D’Angelo Russell en prime.
