NBA – Les 3 Big Threes idéaux pour le Shaq s’il jouait aujourd’hui

Monstre absolu en son temps, où Shaquille O’Neal s’épanouirait-il le plus dans le jeu actuel ? Le point sur 3 destinations sacrément fun et efficaces à imaginer…

Entre 1993 et 2011, il a terrorisé la NBA comme rares sont ceux qui l’ont fait. Machine de guerre sous les panneaux, quadruple champion NBA et un des meilleurs pivots de l’histoire, Shaquille O’Neal a rayonné à une époque où les big men faisaient la loi.

Aujourd’hui, dans une époque tournée vers le shoot à trois points et le spacing, où est-ce qu’un Diesel dans son prime pourrait faire le plus de dégâts ? Voici 3 suggestions.

1. Boston Celtics

C’est le fit le plus évident. Bien sûr, Shaq a déjà étrenné le maillot de Boston pour son ultime saison en carrière, amis il s’agirait ici de sa version « prime ».

Dans une équipe de Boston qui a besoin d’un big, il apporterait ce point d’ancrage sous le cercle en complément de Jayson Tatum, Kemba Walker et consorts. Avec lui, les C’s feraient quasiment figure de grands favoris pour le titre.

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2. Milwaukee Bucks

Voilà un autre fit intéressant. Evidemment, l’attraction majeure de ce Big Three est l’association entre Giannis Antetokounmpo, repositionné un peu plus à l’extérieur, et Shaq dans la raquette. Vous y ajoutez Khris Middleton en embuscade, capable de sanctionner de loin et à mi-distance, et vous obtenez un redoutable cocktail.

En défense comme en attaque, qui pourrait lutter contre le frontcourt Middleton/Giannis/Shaq ? On vous écoute, mais difficile de trouver des candidats crédibles…

3. New Orleans Pelicans

Le pari ici, c’est associer Zion Williamson à Shaquille O’Neal pour former un mélange de qualités athlétiques, de domination physique et de présence des deux côtés du terrain. Avec l’excellent Brandon Ingram en soutien, le Big Three inquiéterait beaucoup de monde à l’Ouest.

Tout ça reste évidemment de la fiction, puisque le Big Cactus a bel et bien raccroché les sneakers voilà bientôt 10 ans. Mais avouons que tout ça met quelque peu l’eau à la bouche…