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Chaque superstar retrouve en elle une part d’une de ses aînées. En ce qui concerne Luka Doncic, certains noms iconiques commencent à ressortir pour le comparer. Pour une ancienne légende, il se rapprocherait de Magic Johnson.
Cela ne fait que 2 ans qu’il a atterri aux Etats-Unis, mais tout le monde parle de Luka Doncic comme s’il survolait la NBA depuis une paire d’années. La superstar des Mavericks a fait taire de la plus belle des manières ceux qui doutaient de lui outre-Atlantique, et cela en un temps record.
Aujourd’hui, on parle de lui comme de l’un des futurs leaders de la ligue, et d’un digne successeur de LeBron James, entre autres. Ce dernier avait d’ailleurs envoyé un gros message en sa direction, en le comparant à Magic Johnson récemment. Et il n’est pas le seul.
Jerry West en est arrivé à la même conclusion, et l’a déclaré dans le podcast Dave’s Front Office.
Il est incroyable, vraiment. C’est l’un de ces joueurs de transition que j’appelle les « joueurs de la décennie » et qui ne se présentent pas très souvent.
C’est juste un joueur remarquable. Il joue avec de la joie. Sa taille, sa capacité à prendre des rebonds, à passer le ballon… Et vous pouvez voir que les joueurs ont un énorme respect pour lui. Il a toujours ce genre de sourire sur son visage quand il joue. Il me rappelle un peu Earvin [Magic] Johnson, en quelque sorte.
C’est comme si Luka Doncic faisait partie de cette caste de joueurs très particuliers que l’on ne peut pas ne pas aimer. Le jeune slovène brille techniquement, il est clutch, et surtout, il prend un plaisir fou à jouer tous les soirs. Et ça se voit.
Dans le même genre, Magic Johnson a toujours eu cette même joie de vivre sur et en dehors du terrain. Quant au bagage technique de Doncic, on y retrouve effectivement du Magic pur et dur, actif dans tous les secteurs du jeu.
Si LeBron James et maintenant Jerry West le disent, c’est qu’il y a peut-être vraiment du Magic Johnson chez Luka Doncic. Il lui reste maintenant à se construire une carrière aussi mythique que la légende des Lakers. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.
