Par Mathieu S. | Rédacteur NBA
Alors que la deadline arrive, les Lakers effectueront quelques changements dans leur effectif dans le meilleur des cas. Darvin Ham, lui, est intouchable selon plusieurs insiders. Pourtant, son attitude est critiquée par les fans… et même les journalistes.
Sans LeBron James ni Anthony Davis à Boston ce jeudi soir, les Lakers ont réussi un petit miracle. Ils ont réussi à gagner sur le score de 114-105, grâce notamment aux 32 points d’Austin Reaves. Les Pourpre et Or retrouvent un bilan équilibré de 25-25 et pourtant, on ne peut pas dire que les problèmes soient terminés. Il faut dire que le comportement de Darvin Ham agace.
Les choix douteux continuent aux Lakers
Critiqué depuis des mois pour des rotations étranges et choix douteux dans son 5 majeur, Ham n’a pas fait exception ce jeudi soir avec 38 minutes de jeu pour Taurean Prince. Malgré des mauvais matchs, l’ailier continue de bénéficier de la confiance de son coach, à l’image de cette image prise au buzzer final chez les Celtics.
I’m in fucking tears lmfaooooooo pic.twitter.com/F4WroyYPoB
— 🎭 (@MaskedInLA) February 2, 2024
Je suis en pleurs lmfaooooo
they not even tryna hide it no more
— ²³𝙻𝚎𝙱𝚛𝚘𝚗𝚌𝚑𝚒𝚝𝚒𝚜🏀☄️🌎💞 (@BronGotGame) February 2, 2024
Ils n’essaient même plus de le cacher
On notera pourtant qu’à part Jalen Hood-Schifino (1 minute de jeu), Prince est le seul joueur à terminer avec un différentiel négatif dans cette partie (-9). Autant dire que ce n’est pas un bon match, mais Ham expliquera sans doute qu’il est satisfait de son joueur en conférence de presse.
Le coach est largement critiqué, même par les journalistes. Depuis plusieurs semaines, Jovan Buha de The Athletic remet souvent en question les choix de Ham. Il n’a pas fait exception ce jeudi.
I'm not sure why Austin Reaves just came out three minutes into the second half when he's on a heater like this.
— Jovan Buha (@jovanbuha) February 2, 2024
Je ne suis pas sûr de comprendre comment Austin Reaves quitte le terrain au bout de 3 minutes dans cette seconde mi-temps alors qu’il est chaud bouillant.
Personne ne comprend vraiment les choix de Darvin Ham à Los Angeles. De quoi s’attirer les critiques d’un peu tout le monde, sauf celles de ses dirigeants. Un feuilleton encore loin d’être terminé.