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Alors que la NBA vient d’autoriser les franchises à réouvrir leur centre d’entraînement, la décision semble déjà faire polémique. Les Warriors ont prévenu : pas question pour eux de suivre cette décision.
Dans la nuit de samedi à dimanche, la NBA vient de prendre une décision qui fait déjà fortement réagir. Malgré le COVID-19 qui continue de faire des morts, les franchises ont l’autorisation de réouvrir leur centre d’entraînement. Des règles strictes devront être appliquées, comme des sessions purement individuelles et aucun groupe de joueurs réunis.
Bien évidemment, certains joueurs dénoncent déjà vivement cette mesure. Pourquoi est-ce que certains auraient le droit de s’entraîner normalement quand d’autres sont obligés de rester à la maison (si la ville est toujours en confinement) ?
C’est le cas des Warriors. La franchise de San Francisco avait été la première touchée par le coronavirus puisque la ville avait décidé d’interdire les rassemblements. La rencontre face aux Nets, le 12 mars dernier, devait donc avoir lieu sans le moindre fan présent dans la salle.
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Depuis, la situation ne s’arrange pas en Californie. Les rassemblements sont toujours interdits et les Dubs entendent bien respecter les règles en vigueur selon NBC Sports. Même si la NBA autorise l’ouverture du centre d’entraînement, Golden State cherchera à obtenir l’aval du maire avant de suivre cette décision, une fois le confinement levé.
Stephen Curry va donc devoir continuer à galérer sur son panier maison : pas de retour au Chase Center dans les jours à venir. Mais les Dubs ne sont pas les seuls concernés, bien évidemment.
Les Knicks et les Nets doivent également rester à la maison. La ville de New York est la plus touchée des Etats-Unis et un retour à la normale n’est pas espéré avant plusieurs mois. D’autres équipes devraient suivre le mouvement et demander aux joueurs de rester chez soi.
Autorisation ou non d’Adam Silver, certaines équipes n’ont pas l’intention de mettre en danger la vie de leurs joueurs.
