puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Depuis l’élimination des Sixers lors des derniers playoffs, Ben Simmons est la cible privilégiée des internautes… Ses moindres faits et gestes sont épiés, et après avoir montré son nouveau tatouage sur les réseaux sociaux, il a une nouvelle fois été humilié.
L’avenir de Ben Simmons est encore en suspens, plusieurs jours après l’annonce de ses velléités de départ. Si le joueur a sa préférence quant à sa prochaine destination, aucune offre concrète n’est encore arrivée sur le bureau de ses dirigeants, et si les choses ne bougent pas rapidement, il pourrait même manquer le training camp et s’exposer à une énorme amende.
En attendant d’y voir plus clair sur son avenir, le meneur doit s’occuper par tous les moyens possibles. Après ses petites vacances en amoureux avec sa nouvelle petite amie, après des heures et des heures passées à la salle pour améliorer son jeu, Ben Simmons a décidé de faire un petit saut chez le tatoueur. Il a partagé ce moment sur les réseaux sociaux.
Pour ceux qui ne sont pas branchés télécommunication, le +61 est l’indicatif international de l’Australie, soit l’équivalent du +33 en France. Un bon moyen pour le meneur d’avoir son pays dans la peau et de se souvenir de ses racines à chaque instant. Malheureusement pour lui, c’était aussi son pourcentage de réussite aux lancers francs la saison passée, et les internautes n’ont pas manqué de lui rappeler.
Ben Simmons gets a tattoo of how many free throws he missed in the playoffs 😳 pic.twitter.com/K39dpopCr9
— 𝐙 🐸 (@sixersin1) September 8, 2021
Ben Simmons s’est fait un tatouage du nombre de lancers francs qu’il a manqué pendant les playoffs.
ben simmons got a tattoo of his 2021-22 ft% pic.twitter.com/1gVBpDUfuR
— Charles (@jaysontatumsr) September 9, 2021
Ben Simmons s’est fait tatouer son pourcentage aux lancers francs pour la saison prochaine.
Décidément, Ben Simmons n’a pas le droit au répit… Même lorsqu’il se fait tatouer un chiffre en rapport avec son pays d’origine, il est pris pour cible.
