NBA – La punchline géniale de Yao Ming (2m29) sur les compagnes des joueurs : « Par pitié, ne…

La légende NBA Yao Ming sous les couleurs des Houston Rockets
NBA (DR)

Par Joël Pütz | Journaliste sportif

Véritable phénomène à son arrivée dans la ligue en 2002, Yao Ming a dû découvrir une telle nouvelle culture en faisant ses débuts aux États-Unis. Le Chinois était alors cependant déjà un comédien né, comme l’a raconté son ancien coéquipier Shane Battier.

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Quand on voit Victor Wembanyama briller ainsi pour sa première année en NBA, difficile de ne pas être fier du côté de la France. Mais certains fans de la balle orange ressentiront également une pointe de regret puisque le profil du Tricolore n’est pas non plus sans rappeler celui de Yao Ming, first pick de la draft en 2002. Un colosse aux pieds d’argile, ultra-doué techniquement et qui a donné des cauchemars à la concurrence :

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Devenir Hall of Famer avec moins de 500 matchs de saison régulière au compteur, c’est un exploit presque inégalé en plus de 75 ans de NBA. C’est dire à quel point le Chinois a marqué les années 2000 et s’il a tourné à 19 points, 9 rebonds et presque deux contres de moyenne, ses multiples blessures aux pieds et aux genoux l’ont certainement empêché d’atteindre des sommets statistiques encore bien plus élevés.



L’anecdote hilarante de Shane Battier sur Yao Ming

Au final, il n’aura jamais pu emmener ses Rockets très loin en playoffs, mais il n’en reste pas moins l’une des plus grandes légendes de l’histoire de la franchise texane. Un joueur au talent immense doublé d’un coéquipier modèle, y compris lors de ses premières années alors qu’il découvrait encore la culture américaine. Shane Battier avait d’ailleurs raconté une anecdote amusante sur le sujet, il y a quelques années :

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Il a organisé un événement caritatif et, un soir, il est venu voir les gars dans les vestiaires et leur a dit : « Les gars, je veux vous inviter à mon événement caritatif. S’il vous plaît, amenez vos femmes ou vos petites amies. Mais par pitié, n’amenez pas les deux. » Je me suis dit : « Pas mal, celle-là ». Je pense que Yao a fait semblant de ne pas très bien parler anglais, pour qu’on le laisse tranquille. Mais il était vraiment hilarant.

Pas franchement le plus bavard de tous, « La Grande Muraille » avait fait croire à pas mal de monde que ses connaissances en anglais étaient limitées. Ming s’était d’ailleurs servir de cette rumeur répandue au sein de la ligue pour salement troller un certain Shaquille O’Neal. Une chose est sûre, son attitude était très appréciée à Houston.

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Yao Ming a rapidement compris que les joueurs américains étaient parfois assez dissipés, quand il s’agit de leur vie amoureuse. Certains n’hésitaient pas à entretenir des relations extra-conjugales… et en élève modèle qu’il était, le géant chinois voulait forcément éviter les embrouilles.

Déclarations NBA 24/24

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