NBA – Les meilleures punchlines en 2018

Trashtalk NBA

L’année 2018 est officiellement terminée. Plus de 364 jours se sont écoulés et dans ce laps de temps, bon nombre de punchlines ont fusé. On vous propose ainsi un florilège des propos les plus piquants de 2018. A savourer sans modération.


Welcome to the fucking league, Mo

Joel Embiid pour Mo Bamba (28 juin) 

Juste après la Draft, Joel Embiid et Mo Bamba étaient déjà partis pour nous régaler toute la saison.

Un moment à revivre en cliquant ici

Si je ne baisse pas mon froc pour gagner un titre, ça aura toujours plus de saveur.

Rudy Gobert (8 juillet)

Dans une interview pour le JDD, Gobert en profitait pour tacler le choix de facilité de certains joueurs.

Un moment à revivre en cliquant ici

Il n’y a pas de loyauté dans ce jeu.

DeMar DeRozan pour les Raptors (18 juillet)

A la veille de rejoindre les Spurs, DeMar DeRozan l’avait plutôt mauvaise envers sa future ancienne franchise.

Un moment à revivre en cliquant ici

Il y a des fils de p**** qui doivent s’arracher les cheveux en ce moment, j’adore.

DeMarcus Cousins (19 juillet)

Sévèrement critiqué après son arrivée en Californie, DeMarcus Cousins en avait franchement rien à faire. 

Un moment à revivre en cliquant ici

C’est comme de rejoindre le gang qui t’avait fracassé, toi et tes frères, deux mois plus tôt.

C.J McCollum pour Kevin Durant (26 juillet)

Le 4 juillet 2016, Kevin Durant signait au Warriors. Deux ans plus tard et deux bagues à la main, les critiques sur son choix continuent au sein même des joueurs de la ligue.

Un moment à revivre en cliquant ici

A lire également : Les meilleures scènes de LaVar Ball en 2018

On est pas taillés dans la même la pierre, Tristan.

Draymond Green pour Tristan Thompson (2 août)

Les deux gaillards n’ont jamais été amis, mais en ce mois d’août, Draymond sonnait à nouveau les hostilités après un accrochage en boite de nuit.

Un moment à revivre en cliquant ici

Ils disent qu’on ruine la ligue, j’adore ça.

Draymond Green (9 août)

Interrogé au sujet de l’arrivée de LeBron aux Lakers, Green faisait savoir, sans langue de bois, que les Warriors étaient encore et toujours les meilleurs dans la ligue. 

Un moment à revivre en cliquant ici

Cleveland, c’est un trou à rats.

Isaiah Thomas (12 août)

Mi-août, Isaiah Thomas se montrait moqueur à l’encontre de Cleveland. Le meneur s’était cependant rapidement excusé par la suite.

Un moment à revivre en cliquant ici

Ceux qui n’acceptent pas LeBron ne sont pas de vrais Lakers.

Jeanie Buss (22 août)

Alors que les critiques fusaient suite à l’arrivée du King, la propriétaire des Lakers se montrait tranchante.

Un moment à revivre en cliquant ici

Il adorerait être un « Blazer à vie » si Portland lui donne 200 millions.

Paul Pierce pour Damian Lillard (10 septembre)

Après avoir déclaré vouloir rester un joueur des Blazers à vie, Damian Lillard ne s’attirait pas les compliments de la légende des Celtics.

Un moment à revivre en cliquant ici

Si je jouais aujourd’hui, je tournerais à 50 points par match, sans les lancers. Les gars ne jouent pas physique.

Shaquille O’Neal (15 septembre)

Fidèle à lui-même le Shaq. Dans le fond et dans la forme.

Un moment à revivre en cliquant ici

Le plus important dans un titre c’est le parcours. Si tu veux une bague facile, il suffit d’aller à la bijouterie.

Rudy Gobert (27 septembre)

A l’avenir, ne lui posez pas la question deux fois.

Je n’irai pas. Ils peuvent annuler mon billet. Il peuvent même annuler Noël. Je n’irai pas dans ce putain de Minnesota.

J.R. Smith (27 septembre)

Fin septembre, J.R. Smith était embarqué dans des rumeurs de trade. Le Minnesota n’était visiblement pas sa destination favorite.

A ce stade de ma carrière, je n’ai pas besoin de matchs de pré-saison pour être prêt.

LeBron James (28 septembre)

Nouveau maillot, nouvelle saison et toujours le même charisme.

La rivalité Sixers-Celtics ? Elle n’existe pas, ils nous bottent le cul à chaque fois.

Joel Embiid (17 octobre)

Mi-octobre, les Sixers s’inclinaient face aux Celtics, comme lors des précédents playoffs. Une donnée qui agaçait forcément Joel Embiid.

Un moment à revivre en cliquant ici

Kobe comprend enfin que j’étais tout simplement plus fort que lui.

Paul Pierce (27 octobre)

Principaux acteurs de la rivalité entre Boston et Los Angeles à la fin des années 2000, Paul Pierce et Kobe Bryant ont toujours fait preuve d’un grand respect mutuel. Fin octobre, le Black Mamba effectuait un compliment pour son meilleur ennemi et ce dernier ne se privait pas pour acquiescer !

Un moment à revivre en cliquant ici

Ce n’est pas du vrai basket. Faisons un tir à 4 points pendant qu’on y est. Ou à 5 même pour que ce soit vraiment amusant pour les fans. Faisons-en un cirque.

Gregg Popovich (30 octobre)

Si la ligue s’extasiait suite au record historique de Klay Thompson à 3 points, il y en avait un pour qui cet exercice est toujours aussi exécrable : Gregg Popovich.

Un moment à revivre en cliquant ici

Le seul magicien qui peut nous aider, c’est Harry Potter

John Wall (7 novembre)

Après seulement trois semaines de compétition, les Wizards portaient déjà un lourd  bilan de 2 victoires et 8 défaites. Pour John Wall, c’était la déprime.

Un moment à revivre en cliquant ici

Merde, tu savais dans quoi tu t’embarquais.

LeBron James (12 novembre)

Grâce à un Tyson Chandler diablement efficace, les Lakers signaient à la mi-novembre trois victoires consécutives, leur plus longue série depuis le début de la saison. Un regain de confiance vital pour les troupes, car même LeBron avouait ses difficultés.

Un moment à revivre en cliquant ici

2 points, 4 assists et 0 rebond ? Oui, il a fait un joli triple simple 

Charles Barkley pour Lonzo Ball (30 novembre)

Au lendemain d’une piètre performance performance face à Indiana (16% au tir), Lonzo Ball n’échappait pas aux moqueries de Charles Barkley sur le plateau d’Inside the NBA.

Un moment à revivre en cliquant ici

Il ne veulent pas voir comme t’es fort, joue comme ça tout le temps. Fais comme si c’était les Hornets !

Tony Parker pour Frank Ntilikina (9 décembre)

A la mi-décembre, Ntilikina signait un match à 21 points (record en carrière) face aux Hornets, après à plusieurs semaines de disette et de critiques. Tony Parker ne pouvait alors qu’encourager son poulain.

Un moment à revivre en cliquant ici

Quand je mets deux 3-points à la suite, je me sens comme Steph Curry. J’en ai eu quelques-uns, et je te dis mec, j’avais l’impression de mesurer 1 mètre 92 et d’avoir la peau claire. 

Spencer Dinwiddie (13 décembre)

Si les Nets créaient la surprise à la mi-décembre en s’imposant chez les 76ers, ils pouvaient également remercier un Spencer Dinwiddie taille patron, qui avouait d’ailleurs se sentir « comme Stephen Curry » sur les parquets ce soir-là.

Un moment à revivre en cliquant ici

De toute façon, c’est l’enfant prodige. Ils m’ont collé deux techniques pour ça. 

Enes Kanter pour Giannis Antetokounmpo (29 décembre)

Au lendemain d’une rencontre bien tendue entre les Knicks et les Bucks, Enes Kanter ne retenait pas ses mots pour parler de Giannis Antetokounmpo. Le Turc n’avait visiblement pas digéré son exclusion.

Un moment à revivre en cliquant ici

C’est ainsi que s’achève notre sélection des meilleures punchlines de 2018. Bien évidemment, cette liste n’est pas exhaustive et certaines joutes verbales nous auront sûrement échappé. N’hésitez pas à nous dire en commentaire si d’autres scènes vous viennent en tête. Bonne année !

Mais aussi : Les plus grosses bagarres de la ligue depuis 1980

Classements (NBA) NBA 24/24

Les dernières actus