UFC – Après sa victoire de patron, la punchline sauvage de Benoit Saint-Denis : « Y en a… »

Il était attendu, et il a répondu présent. Vainqueur dès le premier round du plus gros combat de sa carrière à ce jour face à Ismael Bonfim, Benoit Saint-Denis était chaud bouillant après sa victoire. Il a d’ailleurs envoyé une punchline à tous ceux qui n’avaient pas cru en lui. Voilà qui est dit.

Il l’a fait ! 9 mois après sa victoire contre Gabriel Miranda, Benoit Saint-Denis a continué sa belle série en s’imposant dans la nuit de samedi à dimanche face à Ismael Bonfim. Il n’y aura pas eu beaucoup de suspense dans ce combat, puisque l’ancien militaire a plié l’affaire par soumission dès le premier round, sans trembler :

🚨🚨 BENOÎT SAINT-DENIS PULVÉRISE BONFIM AU PREMIER ROUND 🤯💥

C’EST UN MOOOOOONSTRE 🇨🇵 #UFCVegas76pic.twitter.com/BCS2YZfsYu

— ARENA (@MMArena_) July 1, 2023

Il est important de rappeler que « BSD » n’était pas du tout donné favori par les bookmakers. Et ça, il n’a pas manqué de le rappeler avec une punchline piquante face à la presse :

Benoit Saint-Denis juste après sa victoire :

« Cote à 3.45, y’en a beaucoup qui ont fait de l’oseille ce soir » 🤣💰#UFCVegas76 pic.twitter.com/5ucVb3z4a8

— La Mêlée (@Lamelee_off) July 1, 2023

Benoit Saint-Denis envoie un message à Dana White

Au-delà de ce message destiné à tous ceux qui avaient douté de lui, c’est surtout à Dana White que le natif de Nîmes s’est indirectement adressé. Désireux de continuer à grimper dans la hiérarchie de la division lightweight, celui qui a rappelé qu’il serait le « premier champion de l’UFC français » a clairement fait part de ses intentions après son succès :

C’est simple : maintenant je veux Arman Tsarukyan, ou Mateusz Gamrot, ou Fiziev. Je veux l’une de ces jeunes pépites des poids-légers. Si je fais une performance contre l’un d’eux, je pourrai ensuite prendre un vieux briscard comme Dustin Poirier ou Chandler. Et je peux rêver plus grand après ça. Mais là, vraiment, j’aimerais quelqu’un du top 15, une jeune pépite.

Je serais vraiment chaud de combattre Gamrot, qui est un des seuls gars à avoir battu mon ami Mansour Barnaoui. J’aimerais bien prendre cette revanche, et lui arracher la tête à Paris. Faisons ça. Plutôt que de battre des Polonais, viens te battre contre moi à Paris, Mateusz.

Le message est simple : je suis invaincu, je vais finir tous mes combats, et je veux arriver le plus vite possible à Islam Makhachev.

Remonté comme un coucou après cette victoire qui fait office de référence, Benoit Saint-Denis n’en est que plus confiant quant à l’avenir. Ambitieux, le Français ne se fixe pas de limite, et aimerait pour l’instant s’offrir un autre succès de prestige à Paris face à Mateusz Gamrot. On espère que Dana White a pris note !