Très affaiblie, l’addiction ultra-risquée de Véronique Sanson (75 ans) : « Je suis…

Véronique Sanson
France TV (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Alors qu’elle vient de reporter un concert et qu’elle a été hospitalisée tout récemment pour une pneumonie, Véronique Sanson traverse à nouveau une période difficile. Une habitude, malheureusement, pour cette artiste cabossée, qui entretient malgré tout une addiction ô combien dangereuse et préoccupante pour sa santé…

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Rien ne va plus pour Véronique Sanson. Personnalité si atypique de la scène musicale française, pianiste hors-pair et chanteuse à la voix d’or, la septuagénaire a fait face à de nombreux démons dans sa vie. Consciente de ne pas s’être ménagée, notamment à travers l’alcool et, fut un temps, la drogue, elle paie le prix de ses excès. C’est ainsi qu’elle racontait être diminuée à « Paris Match » il y a quelques semaines, non sans garder le moral :

Il y a des trucs que je ne peux plus faire, j’ai de l’arthrose dans les mains. Mais quand même, je trouve que ça va, j’ai plein d’énergie. Bien évidemment, quand on est bien dans son corps, normalement, on est bien dans sa tête.

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Malgré les alertes, Véronique Sanson toujours addict

Malheureusement, ces propos ont été démentis par les dernières informations concernant l’interprète de « Chanson sur ma drôle de vie ». Hospitalisée pour une pneumonie, et contrainte d’annuler son concert, Véronique Sanson n’est pas au mieux de sa forme. Et pour ne rien arranger, celle qui confiait fumer un paquet de cigarettes par jour à « Libération » (une consommation « en hausse », ndlr) ne semble pas avoir tiré le frein à main :

Je fume beaucoup. Je suis incapable d’arrêter.



Une situation forcément préoccupante au regard de son âge, de ses longues décennies de consommation, et de sa santé fragile. Par le passé, déjà, celle qui a partagé la vie de Michel Berger a dû lutter contre toute une ribambelle de maladies, qu’elle liste d’ailleurs volontiers :

Méningite lymphocytaire, fractures, dépression mélancolique et autres cancers du sein ou de la gorge…

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Très reconnaissante envers tout le personnel hospitalier et médical qui lui a permis de surmonter le crabe, Véronique Sanson avait mentionné compter sur « son ange gardien ». Espérons que ce dernier soit de nouveau au rendez-vous afin de permettre à l’artiste de guérir, puis de retrouver la scène et le public. D’ailleurs, c’est bel et bien sur les planches, devant la foule, qu’elle se sent le plus en sécurité, loin des soucis de santé et des inquiétudes du monde réel :

Mais je sais aussi que j’ai joué avec les poignets cassés, les doigts cassés, les côtes cassées et que chaque fois j’y suis allée. Parce que, dès que je mets un pied sur scène, la douleur s’envole. La scène me fait du bien, mais c’est une forme de schizophrénie. Parce qu’on n’est plus du tout la même personne. Face au public, je me sens quelqu’un d’autre.

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Souhaitons à Véronique Sanson de vite se rétablir et de sortir au plus vite de cette période décidément bien délicate. En espérant que cette nouvelle alerte la convainque d’arrêter de fumer une bonne fois pour toutes. Car poursuivre serait s’exposer à de sérieux risques, que même le fameux ange gardien pourrait ne pas suffire à stopper…

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