Tony Parker (41 ans) cash sur sa participation à ‘Qui veut être mon associé’ : « J’ai exigé de…

Tony Parker sur le plateau de son émission sur Skweek
Skweek (DR)

Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Très actif depuis sa retraite des parquets, Tony Parker continue de tracer sa route comme l’un des investisseurs les plus dynamiques en France. Impliqué dans de nombreux secteurs, il a tout naturellement été choisi par M6 pour être l’un des jurés de l’émission « Qui veut être mon associé » sur M6. Un programme auquel il a accepté de participer… à une condition.

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Pour certains sportifs, la retraite est une petite mort. Pour Tony Parker, ce fut presque l’inverse. Après avoir préparé la transition de manière très assidue et intelligente durant les dernières années de sa carrière, le plus grand basketteur français de l’histoire s’est lancé corps et âme dans le business. Et à la tête de son Infinity Nine Group, il n’en finit plus d’ajouter des cordes à son arc.

Afin d’entériner encore un peu plus son nouveau statut d’entrepreneur, « TP » a accepté de prendre part à l’émission « Qui veut être mon associé », qui cartonne sur M6. C’est donc aux côtés de Marc Simoncini, Jean-Pierre Nadir et consorts que Parker est venu apporter sa patte, avec des ambitions claires : investir dans des entreprises lui permettant d’avoir une part significative de capital, et dont les valeurs collent à son groupe.

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Tony Parker dévoile pourquoi il a participé à QVEMA

Bien évidemment, la présence de l’ancien meneur de jeu des Spurs a été un grand coup pour M6, qui le convoitait depuis quelques temps. Parker a ainsi expliqué à Télé-Loisirs :

Un des producteurs de l’émission m’avait envoyé des messages pour la deuxième saison. Comme je pensais que le programme suivait le même principe que l’émission américaine « Shark Tank » qui est assez violente, ça ne m’intéressait pas de venir pour casser des entrepreneurs. Je suis plus dans la bienveillance et dans l’idée de redonner.

Par la suite, j’ai rencontré Anthony Bourbon qui m’a reparlé de ce programme. J’ai aussi regardé toute la troisième saison. J’ai constaté qu’elle correspondait à mes valeurs car elle peut changer la vie des gens. Je suis animé par la transmission et ai envie de redonner et partager mon expérience.



Et si la production de M6 était prête à ne le faire participer qu’à quelques tournages, afin d’accomoder la star qu’il est, Parker a été clair et net, en imposant une condition qui force le respect :

On m’avait demandé de participer au moins à un ou deux tournages et j’ai exigé de tous les faire. Quand j’entreprends quelque chose, je suis toujours à fond. Soit je fais ou je ne fais pas !

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À l’heure du bilan, le Hall of Famer NBA ne peut être que satisfait de cette expérience télévisuelle : d’une part il a pris son pied, et d’autre part il a appris aux côtés de véritables pointures de l’investissement. Une situation win-win qui l’a enchanté :

J’ai été content de l’ambiance entre nous et de la bienveillance des anciens. Il y aurait pu y avoir une vraie concurrence et finalement je me suis beaucoup marré.

J’ai essayé de rester moi-même. J’ai été sidéré par les connaissances d’investisseurs comme Eric Larchevêque ou Anthony Bourbon. Ce sont des bibles qui savent tout. Je voudrais que mes enfants de 7 et 9 ans regardent cette émission pour apprendre ce que c’est que d’entreprendre.

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Très impliqué dans cette nouvelle aventure de « Qui veut être mon associé », comme il l’est toujours lorsqu’il entreprend quelque chose, Tony Parker a convaincu les téléspectateurs et les producteurs lors de cette première saison. Reviendra-t-il pour la prochaine édition ? En tout cas, nombreux sont ceux qui l’espèrent !

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